Sont nommées :
– Cate Blanchett tient bon la baguette (« Tár » de Todd Field)
– Penélope Cruz est une mère avant tout (« L’immensità » de Emanuele Crialese)
– Léa Drucker croque les plus jeunes (« L’été dernier » de Catherine Breillat)
– Sandra Hüller se tient prête à tomber (« Anatomie d’une chute » de Justine Triet)
– Margot Robbie conquiert Hollywood (« Babylon » de Damien Chazelle)
Et le CinéFilik de la meilleure actrice 2023 est attribué à…
– Margot Robbie (« Babylon » de Damien Chazelle)
Sont nommées :
– Stéphanie Blanchoud sort des clous (« La ligne » de Ursula Meier)
– Catherine Clinch apprécie le silence (« The quiet girl » de Colm Bairéad)
– Suzanne Jouannet étudie passionnément (« La voie royale » de Frédéric Mermoud)
– Alyona Mikhailova tombe follement amoureuse (« La femme de Tchaïkovski » de Kirill Serebrennikov)
– Park Ji-min recherche ses origines (« Retour à Séoul » de Davy Chou)
Et le CinéFilik de la révélation féminine 2023 est attribué à…
– Suzanne Jouannet (« La voie royale » de Frédéric Mermoud)
Sont nommées :
– Laure Calamy court à corps perdu (« A plein temps » de Éric Gravel)
– Virginie Efira voit double (« Madeleine Collins » de Antoine Barraud)
– Charlotte Gainsbourg vole de nuit (« Les passagers de la nuit » de Mikhaël Hers)
– Emma Thompson se met à nu (« Mes rendez-vous avec Léo » de Sophie Hyde)
– Michelle Yeoh frappe fort (« Everything everywhere all at once » de Dan Kwan et Daniel Scheinert)
Et le CinéFilik de la meilleure actrice 2022 est attribué à…
– Michelle Yeoh (« Everything everywhere all at once » de Dan Kwan et Daniel Scheinert)
Sont nommées :
– Alana Haim dévore la Californie (« Licorice Pizza » de Paul Thomas Anderson)
– Hélène Lambert fait le ménage (« Ouistreham » de Emmanuel Carrère)
– Nadia Tereszkiewicz goûte l’amande amère (« Les Amandiers » de Valeria Bruni Tedeschi)
– Maya Vanderbeque joue dans la cour des grandes (« Un monde » de Laura Wandel)
Et le CinéFilik de la révélation féminine 2022 est attribué à…
– Nadia Tereszkiewicz (« Les Amandiers » de Valeria Bruni Tedeschi)
Sont nommées :
– Olivia Colman supporte son père (« The father » de Florian Zeller)
– Vanessa Kirby subit un accouchement avec douleur (« Pieces of a woman » de Kornél Mundruczó)
– Valérie Lemercier est une chanteuse populaire (« Aline » de Valérie Lemercier)
– Frances McDormand prend la route (« Nomadland » de Chloé Zhao)
– Sophie Marceau tue le père (« Tout s’est bien passé » de François Ozon)
– Carey Mulligan balance les porcs (« Promising young woman » de Emerald Fennel)
– Léa Seydoux est à la une (« France » de Bruno Dumont)
Et le CinéFilik de la meilleure actrice 2021 est attribué à…
– Carey Mulligan (« Promising young woman » de Emerald Fennel)
– Andra Day remporte The Voice (« Billie Holiday, une affaire d’Etat » de Lee Daniels)
– Renate Reinsve charme ses Roméo (« Julie (en 12 chapitres) » de Joachim Trier)
– Agathe Rousselle fait l’amour à la machine (« Titane » de Julia Ducournau)
– Eliza Scanlen défie le crabe (« Milla » (Babyteeth) de Shannon Murphy)
– Anamaria Vartolomei dispose de son corps (« L’événement » de Audrey Diwan)
– Zendaya éclaire les nuances de gris (« Malcolm & Marie » de Sam Levinson)
Et le CinéFilik de la révélation féminine 2021 est attribué à…
– Renate Reinsve (« Julie (en 12 chapitres) » de Joachim Trier)
Sont nommées :
– Akwafina, l’Américaine (« L’adieu » (The farewell) de Lulu Wang)
– La fantasmée Jessie Buckley (« Je veux juste en finir » (I’m thinking of ending things) de Charlie Kaufman)
– L’innocente coupable Melissa Guers (« La fille au bracelet » de Stéphane Demoustier)
– Luna Mwezi, fille courage (« Les enfants du Platzspitz » (Platzspitzbaby) de Pierre Monnard)
– L’explosive Helena Zengel (« Benni » (Systemsprenger) de Nora Fingscheidt)
Et le CinéFilik de la révélation féminine 2020 est attribué à…
Jessie Buckley (« Je veux juste en finir » (I’m thinking of ending things) de Charlie Kaufman)
Qui est cette fille ? Jessie Buckley ne va pas en finir maintenant, car tout ne fait que commencer pour elle.
(« Je veux juste en finir » (I’m thinking of ending things) de Charlie Kaufman)
Dans le rôle de la cadette, Nina Hoss démontre qu’elle a tout d’une grande.
(« Petite sœur » (Schwesterlein) de Stéphanie Chuat et Véronique Reymond)
Reine du jeu de dupes, Isabelle Huppert dévoile les multiples cartes de son talent.
(« La Daronne » de Jean-Paul Salomé)
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